Coucou les amis.

Ce soir je suis légèrement énervée. Oui, énervée parce que je viens de passer plusieurs heures à "tenter" de télécharger ma vidéo sur le site. Elle est prête depuis plus d'une quinzaine de jours mais mon incompétance informatique m'a empéché de la partager plutôt. J'ai du remanier, couper, ajuster et recommencer 10 fois pour obtenir un format téléchargeable... Du coup, il y a des séquences que j'ai du retirer. J'espère malgré tout que cette vidéo va vous plaire, qu'elle va vous transmettre la zenitude du lieu et surtout qu'elle vous donnera l'envie de vous y rendre pour découvrir par vous même.

Bienvenu à Saint Philibert, petit village du morbihan (Bretagne sud), situé entre La Trinité Sur Mer et Crac'h (lieu du déstockage papa pique et maman coud), composé principalement de pêcheurs/ostreiculteurs. Le centre bourg ne possède pas de charme particulier mais lorsque vous empruntez la route des plages et que vous longez la côte, vous découvrez un paysage magnifique. Men er beleg est l'une des plages de Saint Philibert.

Chut, je ne vous en dis pas plus et je vous laisse apprécier...

Men er beleg from Symphonie en blanc majeur on Vimeo.

Mes chers amis,

j'espère que vous allez bien et que vous avez passé un bon week-end. Cette semaine j'ai envie de vous parler de pas de bourrées, de sauts de chat et de grands jetés! Non, vous ne vous trompez pas, je parle bien de danse classique. Si vous ne l'avez pas vu, vous avez certainement déjà entendu parler du célèbre Black swan de Darren Aronofsky avec Nathalie Portman et Vincent Cassel. En discutant de ce film avec mes amis, je me suis rendu compte que peu de personne connaisait l'histoire du, au combien célèbre, Lac des cygnes. Il est vrai que ce ballet a été de nombreuses fois remanié et il en existe différentes versions. Moi j'ai décidé de vous parler de la version de 1895, chorégraphiée par Marius Petipa et Lev Ivanov pour la compagnie du Mariinsky de Saint-Pétersbourg. Tout d'abord, parce que c'est celle que je suis allée voir et deuxièmement parce qu'elle est conidérée comme la version "classique". Néanmoins il faut savoir que l'Opéra de Paris danse la chorégraphie de Rudolf Noureev de 1984. Il existe de nombreuses modifications et rien que le final diffère entre les deux ; tandis que la version de M. Petipa prône une fin heureuse, celle de Noureev est plus sombre et se termine par la victoire des forces obscures. 

Après ce léger bla-bla-bla (oui, il faut bien replacer les choses dans leur contexte) je vais maintenant vous raconter le synopsis du Lac des cygnes, ballet en 3 actes, 4 scènes, sur une musique de P. Tchaïkovski, d'un livret de V. Beguitchev et V. Geltzer et chorégraphié par M. Petipa et L. Ivanov.

Si vous ne voulez pas connaître l'histoire il est temps d'arrêter votre lecture, mais je trouve qu'il est difficile de comprendre un ballet si on n'en connaît pas le récit.

ACTE 1, Scène 1

Sur la terrasse du château règne la joie - le prince Siegfried célèbre sa majorité. Ses amis le félicitent. Le fou distrait les convives. Les serviteurs annoncent l'arrivée de la reine - la mère de Siegfried. Elle offre à son fils une arbalète et rappelle que lors du bal, il sera temps pour lui de choisir une fiancée. Le soir tombe. Les invités partent. Siegfried désire rester seul. Il est hanté par des préssentiments obscurs. Voyant dans le ciel des cygnes, il se précipite vers le lac.

Scène 2

Le lac est dans la forêt. les cygnes, touchant le sol, se transforment en jeunes filles et Siegfried baisse son arbalète ébloui par leur beauté. La reine des cygnes, Odette lui raconte qu'elles sont toutes sous l'emprise du pouvoir du méchant sorcier Rothbart et que seul la force de l'amour peut lever le sortilège. Siegfried lui jure l'amour éternel. Odette prévient le jeune homme : s'il ne respecte pas sa promesse, le mal triomphera. L'aube approche. Les cygnes apparaissent sur le lac. Odette fait ses adieux à Siegfried.

ACTE 2

Le bal au château. Devant le prince défilent toutes les plus belles jeunes filles, mais aucune, ne retient l'attention de Siegfried. Son coeur appartient à Odette. Pour satisfaire la volonté de sa mère, le prince est courtois envers les jeunes filles. Le son des fanfares annonce l'arrivée de nouveaux invités. Le méchant sorcier apparaît déguisé en noble chevalier, il est accompagné de sa fille Odile. Siegfried est troublé : cette belle jeune fille ressemble terriblement à Odette! Mais Odile ne laisse pas au prince la possibilité de reprendre ses esprits. Elle l'attire, le charme, Siegfried tombe dans le piège et lui déclare son amour : elle est sa fiancée! Rothbart triomphe. Siegfried a rompu la promesse donnée à Odette : il n'y a pas d'amour, de fidélité, rien qui pourrait résister à son pouvoir. Devant Siegfried apparaît la vision du lac et le jeune homme comprend l'horreur de la tromperie et se précipite vers le lac pour voir Odette.

ACTE 3

La nuit. La rive du lac.Odette raconte à ses amies la perfidie de Rothbart et la trahison de Siegfried. Le prince arrive, il demande son pardon, promet d'expirer ses pêchers. Les cygnes noirs envoyés par le sorciers essaient de séparer les amoureux. Siegfried se bat contre Rothbart. La fin des forces obscures est arrivée et les rayons du soleil levant annoncent la vie, l'amour, le bonheur. 

Coucou les amis.

J'espère que vous avez passé un bon week-end. Cela fait 2 mois maintenant que j'attend pour vous parler de cette soirée. En effet, le 26 novembre dernier, à 20h, je me suis lovée dans un manteau bien chaud et j'ai bravé le froid hivernal pour me rendre à l'opéra. Et là, comment dire, c'était juste Magique! Tout d'abord, l'endroit est magnifique. L'opéra de Rennes a été inauguré en 1836 et est inscrit au titre des monuments historiques. Les illuminations de noël n'avait pas encore été instalées mais la lumière provenant des fenêtres de l'édifice rendait l'ensemble presque iréel. Vous allez dire "ça y est elle a perdu la tête!", mais j'avoue être une inconditionelle des jeux de lumière (une des raisons pour laquelle j'aime Noël).

Ce n'est pas la première fois que je vais à l'opéra et je vais vous révéler un petit secret... Je me débrouille toujours pour arriver en avance afin de pouvoir déambuler dans les couloirs et les escaliers presque seule au monde. C'est un moment que je savoure pendant lequel j'admire la beauté des lieux et me prépare au spectacle qui m'attend. Ensuite je m'assieds à ma place et j'observe la salle se remplir. Après le calme précedent, je trouve que les bavardages du public, impatient du levé de rideau, sont euphorisants. Voilà vous devez vraiment me prendre pour une folle, je sais, mais rassurez-vous je me soigne.

Une schubertiade du XXIème siècle

Ensemble vocal mélisme(s)

Sabine Devieilhe Soprano solo

Colette Diard Piano

Jean-Michel Fournerau Récitant

Gildas Pungier Direction

Une nuit à l'Opéra from Symphonie en blanc majeur on Vimeo.

Salut les amis!

J'espère que vous allez bien. Toutes mes excuses pour ces longs jours d'absence. Avec les fêtes de fin d'année suivi des examens j'ai eu très peu de temps à consacrer au blog. Néanmoins je n'ai pas arrêté de penser à vous. Et même si je ne "bloggais" pas, j'étais présente sur d'autres réseaux sociaux comme pinterest et instagram. J'ai pris du temps pour regarder, m'inspirer, m'abreuver du travail des autres et ça m'a permis de me remettre en question. Je m'explique!

Je ne veux pas être frustrée de ne pas pouvoir poster un article parce qu'il ne correspond pas à ma ligne éditoriale et être cataloguée dans tel ou tel type de blog (mode, DIY, déco, voyage,...). J'aimerais que cet espace me ressemble (un peu touche à tout). Qu'il reflète mes envies, mes coups de coeur. Je sais que ça ne peux pas plaire à tout le monde, que ce sont mes idées et qu'elles ne sont pas universelles. Mais j'espère réussir à faire de ce blog un lieu de partage. 

Voilà, après cette petite mise au point avec moi-même je souhaiterais vous parler de déco. Récemment j'ai joué avec mes copines à un jeu auquel toutes les filles ont déjà joué (les garçons sûrement aussi). Se promener chez Ikéa en imaginant son futur chez soi. Si si on y a déjà toutes joué, ne vous cachez pas! Ayant un logement étudiant, je ne peux pas entièrement satisfaire mes pulsions de décoration (oui oui ce sont de vraies pulsions!). Je me console donc en listant mes envies et en espérant pouvoir bientôt les rayer une à une. Et vous? Si vous voulez jouer avec moi, laissez moi un commentaire avec vos coups de coeur déco. Voici ma sélection Ikéa du moment : 

1.

2.

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1. STOCKHOLM Tapis tissé à plat, à carreaux, brun, 299 €

2. STRIND Table basse, blanc, nickelé, 135 €

3. SÖDERHAMN Canapé 3 places, Isefall turquoise clair, 629 €

4. FABRIKÖR Vitrine, gris foncé, 179 €

5. LILLHOLMEN Applique, nickelé, blanc, 14,95 €

Coucou les amis!

Oui je sais le beau temps s'en est allé, le soleil a disparu et oui je sais que la pluie est de retour... Mais j'avais très très envie de manger quelque chose de coloré et qui met de bonne humeur! Vous voyez, le genre de boisson qui fait fuir le mauvais temps et la grisaille! Je sais, c'est un peu ambitieux de ma part... Néanmoins je me suis lancée.

Nostalgique de mes vacances, je me suis rappelée combien il était agréable de siroter un milk-shake sur une terrasse ensoleillée accompagnée de ses copines. J'avoue avoir une préférence pour le milk-shake à la vanille mais j'avais tellement envie de fraise tagada que j'ai été dans l'obligation de choisir une recette à la fraise. J'en profite pour vous rappelez que cette recette peut-être déclinée à l'infini avec différents parfums que vous pouvez combiner. 

Voilà, j'espère que ça va vous donner l'envie d'essayer. Dites moi ce que vous en pensez, si vous avez aimé votre milk-shake et quels parfums vous avez choisi.

Plein de bisous sucrés et bonne vacances de la Toussaint! 

Pink Ladies from Symphonie en blanc majeur on Vimeo.

Cet été j’ai travaillé pendant un mois à Paris et ça a été une expérience formidable. Comme vous allez vite vous en rendre compte, je suis passionnée d’histoire et Paris est d’une richesse historique incomparable. Ayant vu de nombreuses affiches dans le métro, je suis allée visiter l’expo sur le Titanic.

Alors vous allez me dire qu’après avoir vu le célèbre film de James Cameron on connaît déjà par cœur la suite des événements de la nuit du 14 au 15 avril 1912 (le choc avec l’iceberg – l’infiltration de l’eau – les canots à la mer – le paquebot qui se coupe en deux – la mort de Jack – on sort les mouchoirs). Et finalement j’ai été à nouveau bouleversée par cette histoire. Parce qu’il faut savoir qu’en dehors la "presque" inévitable chronologie qui restitue heure par heure le drame, la visite est agrémentée (et c’est ce qui en fait sa qualité) de plusieurs reconstitutions de l’intérieur du Titanic (un couloir de première classe, des cabines de première et troisième classes, etc.) mais également d’objets retrouvés sur l’épave lors d’expéditions scientifiques. Et je dois dire que c’est ce qu’il y a de plus touchant. Pouvoir contempler des objets ayant appartenu à ces personnes nous rapproche d’eux inévitablement. On imagine les hommes se raser devant leur lavabo, les serveurs apportant les plats chauds au restaurant, les femmes s’asperger de parfum… C’est une expérience assez particulière lorsqu’on connaît le destin de leurs propiétaires.

D’ailleurs j’ai été particulièrement intriguée par cette phrase : « C’était une nuit sans lune et je n’avais jamais vu les étoiles briller avec autant d’intensité ; elles semblaient sortir du ciel, et elles jetaient autant de feux que les diamants. C’était le genre de nuit où on est content de vivre. »  Elle a été dite par un certain Jack Thayer, passager de première classe. Je la trouve très belle et en même temps poignante.

Anecdote assez sympathique, au moment de recevoir notre ticket d’entrée, on reçoit la réplique d’une carte d’embarcation d’époque et on se voit attribuer un passager. Je trouve ça très amusant parce qu’on s’identifie au passager et ça rend la visite plus attrayante. En l’occurrence, j’étais Madame Jennie Hansen (née Howard), je voyageais en troisième classe en compagnie de mon mari et de mon beau-frère. A la fin du parcours, on trouve un grand panneau sur lequel sont répertoriés les noms de toutes les personnes se trouvant à bord du Titanic (passagers et équipage) avec la mention « survivant » ou « disparu ». Il se trouve que j’ai survécu mais mon mari est porté disparu.

Tout ça pour vous dire que j’ai vraiment beaucoup aimé cette expo et que je vous la recommande.

PS : c’est moins cher le lundi !

Aujourd’hui je poste mon premier article. Ca me fait un peu bizarre de vous écrire sans vous connaître alors surtout n’hésitez pas à me laisser des commentaires. C’est très important pour moi de connaître vos avis quels qu’ils soient (oui oui les négatifs aussi !)

Une nuit sans lune from Symphonie en blanc majeur on Vimeo.